Mon problème quand je cuisine du pruneau d'Agen c'est qu'il en arrive jusqu'à la cuisine… Il faut dire que généralement je réfléchis d'abord en position de la moule de canapé avec le futur cuisiné entre les mains et c'est là que ça se gâte. Parce que forcément faut que je goûte et que je regoûte, que je me demande si noyau ou pas noyau, que je m'imprègne du fondant de l'un et du supplément de saveur de l'autre… Et quand j'arrive enfin à la cuisine Marie, en me croisant, me demande alors et…